l'environnement, notre prioritéA.Assoumani,ingénieur en Géoenvironnement Ensemble protégeons l'environnement
Signer mon livre d'or Faire connaître mon blog Me contacter par mail Flux RSS
Thèmesadministration biosphere climat comores eaupotable écologie effet de serre francaise ile pensée pluie pluvalor
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Accueil (0)
· Climat (3)
· Eau (2)
· Ecologie (3)
· Environnement Comores (1)
c'est super merci pour avoir laissé ces informations.
Par Anonyme, le 16.11.2018
c'est tres bien -joshua
Par Joshua, le 07.12.2017
mdr trés bien expliquer
Par Coumba, le 27.01.2016
ils faut regler le plus vite
http://0 2468040.center blog.net
Par awadollar, le 22.01.2014
go suck a fuck
http://f orlanurugay10. centerblog.net
Par forlan, le 22.11.2013
· Qu'est ce qui provoque dans l’atmosphère l’effet de serre ?
· pourquoi protegeons nous notre environnement
· Evaluation de l'impact des activités humaines
· Eau: les océans du monde
· Situation géographique de l'Union des Comores
· Ecologie: une solution apportée au sol dégradé
· L'origine des dérèglements de l'écosystème terre
· Suicide écologique
· Climat: gisements de pétrole de l'Equateur
· L'approvisionnement en eau potable
· moindjie
· comores
· monde diplomatique
· djibaba.ingénieur
Date de création : 20.08.2010
Dernière mise à jour :
10.12.2016
10 articles
L’archipel des Comores est composé de quatre îles volcaniques principales qui s’étendent d’Est en Ouest sur 225 km: Maore ou Mayotte (376 km²), Ndzuwani ou Anjouan (superficie de 424 km²), Mwali ou Mohéli (290 km²) et Ngazidja ou Grande Comore (1147 km²). L’ensemble de ces îles se localise dans la partie septentrionale du Canal de Mozambique, à mi-chemin entre la côte Nord-Ouest de Madagascar et de la côte orientale du continent africain (11°22’ 13°5’ de latitude Sud 43°12’ et 45°19’ de longitude Est). La Grande Comore, l’île la plus importante par sa surface, la plus occidentale et la plus au Nord, se trouve à environ 700 km de Madagascar et à 300 km de l’Afrique. Mayotte étant sous administration française.
Des ingénieurs environnementalistes financés par l'UE ont isolé des particules aérosol dans des conditions préindustrielles quasi-parfaites dans le lointain bassin amazonien du Brésil. Leurs découvertes nous permettront de comprendre la formation des nuages, les différences chimiques entre les environnements naturels et pollués, et le changement climatique à l'échelle régionale et mondiale.
L'atmosphère au-dessus de la forêt tropicale amazonienne est plus propre que dans toute autre région sur Terre, ce qui permet à l'équipe de mesurer des particules émises ou formées au sein de l'écosystème de la forêt tropicale qui échappent plus ou moins à l'influence de l'activité anthropogénique ou humaine. Les ingénieurs environnementalistes ou "archéologues de l'air" espèrent que l'étude permettra d'approfondir leur compréhension de la formation des nuages, qui affecte des niveaux de précipitation et la croissance des cultures et des plantes, ainsi que le changement climatique.
"En réalité, nous avons eu deux journées de 'voyage' du mouvement d'air pur sur 1 600 kilomètres avant que l'air n'arrive sur notre site de mesure", expliquait l'auteur principal Scot Martin, professeur titulaire de la chaire Gordon McKay de chimie environnementale à la Faculté de génie et de sciences appliquées (SEAS) de Harvard, aux États-Unis.
Le professeur Martin expliquait que grâce à "l'échantillonnage d'une tour haute de 40 mètres et l'utilisation d'une variété de techniques, les chercheurs ont détecté et illustré par images des particules atmosphériques" et ont découvert que les "particules ultramicrons les plus appropriées au climat pourraient provenir de l'oxydation atmosphérique des émissions de centrales, ou des gouttelettes aérosol secondaires organiques".
Il les décrivait comme "une sorte de particule organique liquide" et expliquait que pour la première fois, on était parvenu à capturer de manière isolée ces particules. "Dans l'hémisphère Nord", ajoutait-il, "et d'autres régions à activités anthropogéniques, collecter des particules est une tâche complexe et confuse car ces dernières sont recouvertes de suie, de nitrates et autres polluants."
Dans le bassin amazonien vierge, les chercheurs ont pu détecter de grandes concentrations de particules d'aérosol de quelques centaines de mètres cubes (cm3). Dans les villes très industrialisées, les concentrations de particules apparaissent par dizaines de milliers par cm3, ce qui empêche les climatologues de mesurer tout changement net lorsque des particules supplémentaires, naturelles ou artificielles, sont ajoutées.
Toutefois, il est essentiel que les scientifiques parviennent à mesurer de tels changements, soulignait le professeur Martin. "Ces particules affectent la formation de nuages qui, à son tour, affecte les précipitations et a un impact sur les plantes", expliquait-il. "C'est ce que l'on appelle le grand réacteur tropical. Tout est connecté et dans notre recherche, nous avons finalement obtenu un réel aperçu des interactions naturelles aérosol-nuage".
Co-auteur principal, Ulrich Pöschl, un scientifique de l'Institut Max Planck de chimie en Allemagne, déclarait : "Ces nouveaux résultats et données nous permettent, nous et nos collègues, de comprendre et de quantifier l'interdépendance du cycle des aérosols et de l'eau dans le système climatique imperturbable". Il ajoutait qu'une "compréhension approfondie du système climatique non perturbé est indispensable pour la modélisation fiable et les prévisions des perturbations d'origine anthropique et leurs effets sur le changement climatique".
Le bassin amazonien traverse une période de développement ; ainsi, le co-auteur Paulo Artaxo, professeur de physique à l'université de São Paulo au Brésil, expliquait que les scientifiques auront désormais la possibilité d'observer l'influence de l'activité humaine sur l'atmosphère en temps réel. "Au Brésil, nous avons désormais une science plus solide pour soutenir un développement durable dans la région amazonienne", faisait-il remarquer.
"À l'avenir, nous espérons mieux comprendre les mécanismes d'interaction des plantes avec l'atmosphère et élucider les principales réactions naturelles. Ainsi, nous pourrons surveiller les changements atmosphérique avec précision à la lumière de la déforestation en cours."
En détruisant notre écosystème (forêts, terres arables, système hydraulique....), en prélevant au-dessus de ce que le milieu naturel est capable de fournir, la chute de notre civilisation thermo-industrielle peut être très rapide d'autant plus que les interdépendances entre nos différents réseaux d'approvisionnement accroissent notre vulnérabilité. Alors comment comprendre que nous acceptons de courir au suicide par nos propres agissements sans réagir?
D'abord les signes de la menace sont interprétés selon des critères très variables, il y en a même qui contestent le réchauffement climatique d'origine anthropique. Ces menaces sont d'ailleurs souvent invisibles, on ne voit pas la teneur de l'air en gaz carbonique.
Ensuite, quand la menace est bien analysée par les scientifiques (effet de serre, perte de biodiversité, réduction des ressources halieutiques...), encore faut-il que les politiques se saisissent du problème. Mais les élus font comme leurs citoyens, ils ne pensent qu'à court terme et à leur prochain mandat électoral. Le débat démocratique demande du temps, la diplomatie a un rythme lent qui n'est plus à la mesure des enjeux écologiques. Enfin le maintien des privilèges des uns, de la consommation de masse des peuples riches et le désir de tous d'accéder à la marchandisation de l'existence fait en sorte que le changement de mode de vie ne peut être accepté que par une infime minorité de la population.
Pour le moment les humains restent insensibles aux souffrances de la Biosphère, ne prêtant attention qu'à leurs propres souffrances ou aux plaisirs des jeux, olympiques ou non. Il nous reste à bâtir une nouvelle éthique pour affronter la crise ultime. La conscience de notre propre intérêt et de celui des générations futures pourrait libérer notre pensée et notre action face au déterminisme environnemental.
Les dérèglements et perturbations que subit notre écosystème terre peuvent provenir de 3 sources différentes :
- Du milieu
- Des etres vivants
- D'un element exterieure à l'ecosysteme.
Les dérèglements venant du milieu :
- Secheresse
- Désertification
- Erosion
- Incendie
- Cyclone
- Tempete
Les dérèglements et déséquilibres venant des êtres vivants
Tous les êtres vivants provoquent des modifications du milieu et créent des dérèglements et des déséquilibres, mais les êtres vivants qui causent les plus importantes sont sans conteste les humains.
L’activité humaine a toujours créé des modifications de son milieu mais jamais d’aussi importantes que depuis les 50 dernières années.
C’est l’activité humaine qui risque de mettre en péril l’équilibre de la planète pour les années à venir.
Parmi les perturbations causées par les êtres vivants on trouve :
Les dérèglements extérieures à la terre
Les dérèglements extérieurs à la terre sont ceux venant du système solaire ou de l’espace :
L'hommes est généralement impuissant contre ces dérèglements naturels qu'ils soient internes ou externes à la planète terre, mais par son activité et ses actions il peut les amplifier. Les inondations sont un phénomène naturel, mais la déforestation et l'exploitation intensive de certaines zones agricoles peuvent aggraver de manière spectaculaire les inondations et leurs conséquences.
La fertilisation du sol par enfouissement de charbon de bois (biochar) est une des techniques plus efficaces pour la réabilitation des sols dégradés.
Cette technique est issue des coutumes ancestrales pratiquées par les Indiens d’Amazonie il y a des milliers d’années. Elle peut apporter une solution à la fois simple, rapide, durable et extrêmement efficace aux problèmes de dégradation des sols.
La solution résulte d'une forte teneur en carbone du biochar donnant au sol, la propriété, lorsqu’il est enfoui dans un sol très dégradé ou non, de retenir les minéraux, les nutriments et l’eau, devenant ainsi un milieu de vie idéal et durable pour les micro-organismes responsables de l’augmentation de la fertilité du sol.
Nommé terra préta, ce type de sol résulte d'une fertilité exceptionnelle due à des concentrations particulièrement élevées en charbon de bois, matière organique et nutriments tels que azote, phosphore, potassium, et calcium. La part de carbone dans la matière organique de la Terra Preta est entre 13% et 14%.
Cette technique est bénéfique et très economique dans des milieux rurales très affectés par la pauvreté des sols. son utilisation ne représente pas une menace pour la biodiversité.
Dans un rapport publié par des scientifiques marins americano-austrlien, il montre que Les océans du monde sont en train d’étouffer sous les émissions de gaz à effet de serre, qui détruisent les écosystèmes marins et bouleversent la chaîne alimentaire : des changements irréversibles qui ne se sont pas produits depuis plusieurs millions d’années, d’après ce que révèle une nouvelle étude.
voici q uelques données que releve le rapport:
-Des tels changements pourraient avoir des conséquences graves pour des centaines de millions d’individus autour de la planète qui dépendent des océans pour vivre.
-Le changement climatique était à l’origine d’un déclin majeur des écosystèmes marins.
-Les océans se réchauffent et s’acidifient rapidement, les courants océaniques ont été altérés et les « zones mortes » dans les profondeurs océaniques s’étendent de plus en plus, d’après le rapport.
- un déclin des principaux écosystèmes océaniques tels que les récifs de corail et les forêts de kelp (zones sous marines densément plantées de kelp), et la chaîne alimentaire marine est bouleversée, avec des poissons moins nombreux et plus petits, et des maladies plus fréquentes parmi les organismes marins.
-Plus de 3,5 milliards d’individus dépendent de l’océan pour des nécessités de base comme l’alimentation, et ce nombre pourrait doubler d’ici vingt ans.
-Le climat mondial est resté stable pendant plusieurs milliers d’années, mais le changement climatique au cours des 150 dernières années oblige désormais les organismes à changer rapidement, des changements qui avec une évolution naturelle, prendraient normalement plus de temps.
D'aprèsle Professeur Ove Hoegh-Guldberg, directeur de l’Institut du Changement Climatique à l’Université de Queensland (Global Change Institute):les océans étaient « les poumons et le cœur » de la Terre, car ils produisent la moitié de l’oxygène de la planète et absorbent 30% des émissions de dioxyde de carbone produites par les êtres humains. De ce fait, il reste au monde d'entrer en action afin de repondre aux problemes de la disparition de la disparition des récifs de corail, des forêts, et d’autres écosystèmes.
L’Equateur abandonne l’exploitation de gisements de pétrole. Cette initiative de l’Equateur représente une contribution directe à la lutte contre le changement climatique. Elle évitera le rejet dans l’atmosphère de plus de 400 millions de tonnes de carbone.
Cette initiative de l’Equateur représente une contribution directe à la lutte contre le changement climatique. Elle évitera le rejet dans l’atmosphère de plus de 400 millions de tonnes de carbone, correspondant à la combustion du pétrole s’il était extrait.
C'est dans un accord signé par le programme des Nations Unis pour le developpement avec le gouvernement equatorien destiné à renforcer la protection d’une zone riche en pétrole de l’Amazonie équatorienne, et ainsi à protéger le climat.
l’accord prévoit la création d’un Fonds d’affectation spéciale, en échange de l’engagement des autorités équatoriennes à ne pas exploiter 846 millions de barils de pétrole brut dans le sous sol du Parc national de Yasuni, un site classé « réserve mondiale de biosphère » par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) depuis 1989. Le Parc est situé dans la vallée du Haut Napo, dans la région ouest de l’Amazonie équatorienne et s’étend sur 982.000 hectares.
L e vice pésident equatorien a pris une bonne initiative en declarant :« Il faut que les pays industrialisés comprennent que, dans un esprit de responsabilité collective, nous avons fait un choix historique qui représente aussi un sacrifice pour notre pays ».
Ceci doit etre un exemple aux pays pollueurs payeurs de reduire leurs exploitations de petrole et d'industries lourdes portant nuisance sur le climat.
L'environnement définit comme étant le milieu naturel qui nous entoure et l'ensemble des composantes naturelles comme l'air, l'eau, l'atmosphère, les roches, les végétaux, les animaux, et l'ensemble des phénomènes et interactions s'y déroulant, a pris de plus en plus de l'importance au XIXe siècle dans la protection des paysages naturels dans beaucoup des pays occidentaux( les Etats unis, la France...) .
Dès la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle, avec la révolution industrielle et une forte croissance économique qui ont conduit à une forte consommation des ressources naturelles et à une industrie lourdes, le monde entier commence a voirles premières catastrophes industrielles et écologiques visibles (marées noires, pollution de l'air et des cours d'eau) et la fragilité des écosystèmes. Ceux ci ont réveillé l’opinion publique à la protection de l’environnement.
Vers la fin du XXe siècle , la dégradation de l’environnement considérée comme un problème local est devenue mondiale. C’est à Stockholm (Suède) en juin 1972, une première conférence des nations unis sur la protection de l’environnement a eu lieu. Il a été mis en place le processus sur les études d’impacts sur l’environnement.
De ce fait, beaucoup de problèmes ont été relevé partout dans le monde montrant l’impact de l’homme sur l’environnement :
- dégradation des sols grâce à la déforestation massive pour la construction des routes et des habitations,
- la pollution atmosphérique ou de l’air qui est à l’origine du réchauffement climatique,
- la pollution des eaux superficielle et souterraine,
- la perte de la biodiversité grâce au prélèvement des espèces animale et végétale,
- la raréfaction des ressources naturelles renouvelable ou non :
Renouvelables (poissons, forets…)
Non renouvelable (énergies fossiles et les minerais ).
.
Pour réduire les impacts négatifs qui touchent notre environnement aujourd’hui, beaucoup de techniques existent notamment :
Traitement des eaux usées par des stations d'épuration, ces eaux sont évacués des maisons et des milieux urbains à partir des systèmes d’assainissement e,
le traitement de l'air,
Gestion des déchets à partir des décharges contrôlées, de l’incinération, de compostage, de méthanisation (...),
Gestion durable des ressources naturelles en créant des aires protégées dans le domaine continentale comme dans le littoral,
Protection des milieux et des espèces en limitant l'urbanisation et les activités humaines dans les zones concernées
Efficience énergétique.( réduire la consommation d'énergie) ,
et enfin, la réduction des émissions de gaz à effet de serre qui est en cours de réflexion dans les conférences des nations unis avec les pays pollueurs payeurs depuis Rio jusqu’à Coepenague.
le probleme de l'environnement n'est pas d'une seule personne. c'est un probleme qui touche toute la planete. il est temps de ne pas attendre l'aide de l'onu pour sa protection mais c'est à nous de nous aider en créant des associations dans nos pays, villes, quartiers(...)